Par Aude Camus
Il y a une blague qui circule : les expats français à Hong Kong peuvent vivre des années sur l’île sans jamais traverser le Victoria Harbour. Si certains confirment le cliché, d’autres - moi y compris - le démentent volontiers, surtout pour une bonne table ! Et justement, j’ai trouvé une nouvelle raison de faire le trajet plus souvent : Marmo Bistro. Le nouveau bistrot français du Rosewood Hong Kong, c’est un bout de Paris en Asie - chic sans effort, accueillant, et rempli de plats qui donnent envie de s’attarder autour d’un deuxième (voire troisième) verre de vin.
Le chef Giovanni Galeota maîtrise les grands classiques français, mais avec ce petit twist qui les rend inoubliables. Prenez le Thon à la Niçoise (268 HKD) : une version fraîche et vibrante de ce plat de la Riviera, où un thon akami cru fondant rencontre des assaisonnements bien relevés. J’avoue, la salade niçoise n’est pas mon choix habituel au restaurant, mais celle-ci ? Je la recommanderais sans hésiter.
Il y a une blague qui circule : les expats français à Hong Kong peuvent vivre des années sur l’île sans jamais traverser le Victoria Harbour. Si certains confirment le cliché, d’autres - moi y compris - le démentent volontiers, surtout pour une bonne table ! Et justement, j’ai trouvé une nouvelle raison de faire le trajet plus souvent : Marmo Bistro. Le nouveau bistrot français du Rosewood Hong Kong, c’est un bout de Paris en Asie - chic sans effort, accueillant, et rempli de plats qui donnent envie de s’attarder autour d’un deuxième (voire troisième) verre de vin.
Le chef Giovanni Galeota maîtrise les grands classiques français, mais avec ce petit twist qui les rend inoubliables. Prenez le Thon à la Niçoise (268 HKD) : une version fraîche et vibrante de ce plat de la Riviera, où un thon akami cru fondant rencontre des assaisonnements bien relevés. J’avoue, la salade niçoise n’est pas mon choix habituel au restaurant, mais celle-ci ? Je la recommanderais sans hésiter.
Et puis, il y a la Gratinée à l'Oignon (168 HKD) : une soupe à l'oignon riche (vraiment riche – le genre de plat qu’on est content de partager), aux saveurs profondes de bœuf, nappée de Gruyère et de Comté fondus. Difficile à trouver à Hong Kong, encore plus rare d’en déguster une aussi bonne (même en France). Chaque cuillérée est un pur retour en enfance. Mention spéciale pour le bol identique à ceux de mes parents à Paris - petit détail, grand effet.
La Bouillabaisse (688 HKD - pour deux) aussi mérite d’être mentionnée : un festival de saveurs marines, servie à la façon traditionnelle avec une tranche de pain au levain tartinée de rouille (parce qu’on sait bien que la moitié du plaisir, c’est de saucer jusqu’à la dernière goutte). La Fricassée de Poulet (388 HKD) - un poulet tendre baignant dans une crémeuse sauce aux morilles – me rappelle les dimanches de mon enfance en France. Quant aux Pommes Allumettes (128 HKD), ces frites maison ultra croustillantes et dorées … J’aurais pu en manger un kilo sans le moindre regret.
Côté desserts ? Impossible de résister à la Tarte Tropézienne (128 HKD) : une brioche légère et moelleuse garnie de crème diplomate. Passant mes étés à Saint-Tropez depuis quelques années, j’ai un faible pour cette gourmandise, et la version de Marmo Bistro est pile comme il faut. La Crème Brûlée (108 HKD) est également un excellent choix.
Marmo Bistro, ce n’est pas juste un restaurant, c’est une véritable ode à tout ce que j’aime dans la cuisine française : des plats réconfortants, des spécialités régionales, une pointe de nostalgie et une bonne dose de convivialité. C’est le genre d’endroit où l’on s’installe pour un dîner et où l’on finit par rester des heures. Et ça, pour moi, c’est la définition même d’un vrai bistrot.
Je ne vais pas mentir, j’ai un peu trop mangé - tellement que j’ai dû faire une longue promenade pour rentrer, incapable de dormir avec un estomac aussi plein. Mais c’est bien là le signe d’un repas mémorable : celui dont on ne peut pas s’arrêter de savourer chaque bouchée, même quand on est rassasié, sans le moindre regret.
Marmo Bistro, ce n’est pas juste un restaurant, c’est une véritable ode à tout ce que j’aime dans la cuisine française : des plats réconfortants, des spécialités régionales, une pointe de nostalgie et une bonne dose de convivialité. C’est le genre d’endroit où l’on s’installe pour un dîner et où l’on finit par rester des heures. Et ça, pour moi, c’est la définition même d’un vrai bistrot.
Je ne vais pas mentir, j’ai un peu trop mangé - tellement que j’ai dû faire une longue promenade pour rentrer, incapable de dormir avec un estomac aussi plein. Mais c’est bien là le signe d’un repas mémorable : celui dont on ne peut pas s’arrêter de savourer chaque bouchée, même quand on est rassasié, sans le moindre regret.
Marmo Bistro
https://www.rosewoodhotels.com/en/hong-kong/dining/marmo-bistro
G/F, Rosewood Hong Kong, Victoria Dockside, 18 Salisbury Road, Tsim Sha Tsui
Cet article s’appuie sur un diner presse offert et organisé par Marmo Bistro, sans obligation de publication. Il n’a pas donné lieu à une rémunération financière et l’avis exprimé y est 100% celui de son auteur.