Par Aude Camus
Si vous me lisez régulièrement, vous le savez maintenant : la gastronomie, c’est ma passion. Je vis et respire bonne bouffe. C’est simple, savoir que j’ai une réservation dans un bon restaurant suffit à me mettre de bonne humeur pour la semaine, surtout quand je sais qu’un repas d’exception m’attend, ce qui est toujours le cas chez Caprice.
En revanche, et je dois l’avouer, j’ai rarement le temps, à mon grand regret, de m’adonner à une dégustation en 12 plats qui s’étend sur 4 heures. Encore moins en semaine et au déjeuner. Et j’imagine que je ne suis pas la seule.
C’est justement pour répondre aux besoins des épicuriens dont le temps est compté que le chef Guillaume Galliot a lancé son Refined Power Lunch en trois plats. Le principe est simple : vous profitez de l’expérience trois étoiles et du service impeccable de Caprice, mais dans un temps limité et à un prix très attractif.
Si vous me lisez régulièrement, vous le savez maintenant : la gastronomie, c’est ma passion. Je vis et respire bonne bouffe. C’est simple, savoir que j’ai une réservation dans un bon restaurant suffit à me mettre de bonne humeur pour la semaine, surtout quand je sais qu’un repas d’exception m’attend, ce qui est toujours le cas chez Caprice.
En revanche, et je dois l’avouer, j’ai rarement le temps, à mon grand regret, de m’adonner à une dégustation en 12 plats qui s’étend sur 4 heures. Encore moins en semaine et au déjeuner. Et j’imagine que je ne suis pas la seule.
C’est justement pour répondre aux besoins des épicuriens dont le temps est compté que le chef Guillaume Galliot a lancé son Refined Power Lunch en trois plats. Le principe est simple : vous profitez de l’expérience trois étoiles et du service impeccable de Caprice, mais dans un temps limité et à un prix très attractif.
Pour son lancement, ce menu, probablement appelé à évoluer avec les saisons, s’ouvre sur un plat d’asperges blanches de la Vallée de la Loire, accompagnées d’un tartare de couteaux agrémenté de caviar Kristal. L’iode fait ressortir la puissance végétale de l’asperge. Le résultat est aussi frais que raffiné, et les habitués de la cuisine du chef reconnaîtront des saveurs qui lui sont chères.
Pour le plat principal, un choix s’offre à vous. J’ai testé les deux, et croyez-moi, il n’y a pas de mauvais choix. D’un côté, le homard breton, en plus d’être incroyablement charnu, est parfaitement nacré et servi avec la fameuse sauce Ruby du chef. Là, c’est simple, ne pas saucer est un péché. De l’autre côté, le filet de bœuf, tendre à souhait, servi avec une sauce qui mérite qu’on y trempe son pain, et accompagné de pommes de terre glacées et de morilles.
Le dessert, un millefeuille banane chocolat, se révèle surprenamment plus frais et léger que son intitulé ne le laisse penser. La pâte croustille en bouche, le sorbet chocolat est réjouissant et la crème est comme un nuage. Un café ou un thé, des petits fours, et voilà, c’est plié en 90 minutes. Même si, finalement, on se serait bien vu prolonger l’expérience. Du coup, en partant, n’hésitez pas à faire comme moi et à réserver votre prochaine visite. Peut-être aurez-vous le temps pour un dîner la prochaine fois ?
Caprice
https://www.fourseasons.com/hongkong/dining/restaurants/caprice/
6/F, Four Seasons Hotel Hong Kong, 8 Finance Street Central
Cet article s’appuie sur un Refined Power Lunch pour deux offert par Caprice, sans obligation de publication. Il n’a donné lieu à aucune rémunération financière et l’avis exprimé est 100% celui de son auteur.