par Aude Camus
Pénétrer dans The Chinnery, niché au cœur du Mandarin Oriental de Hong Kong, c’est un peu comme entrer dans une bulle hors du temps. Caché au premier étage, ce lieu a longtemps été un refuge secret pour les initiés, un véritable paradis pour gentlemen. Baptisé en l'honneur du peintre britannique George Chinnery, les murs sont ornés de ses peintures présentant des scènes de la vie coloniale sur la côte chinoise. L'ambiance ici se veut définitivement nostalgique,
À l’origine réservé aux hommes, The Chinnery a ouvert ses portes aux femmes dans les années 1990, reflétant ainsi l’évolution de Hong Kong et du Mandarin Oriental. Ce qui n’a pas changé, c’est l’élégance intemporelle de son décor en boiseries, préservé avec soin depuis sa grande rénovation en 2006.
Récemment, j’ai eu la chance de découvrir les lieux, subitement rénovés à l'été 2024, pour la toute première fois. Même si la rénovation reste discrète, elle insuffle un nouvel élan à l'endroit. Mais rassurez-vous, les essentiels qui font la renommée des lieux sont toujours là : une ambiance cosy digne d’un club privé, et une collection de whiskys single malts parmi les plus prestigieuses du monde.
Côté cuisine, c’est un réga la encore empreint de nostalgie. Le menu se veut Anglo-Indien et réconfortant. Impossible de résister à la kulcha de pommes de terre, un petit bijou fondant, ni au curry de poisson parfaitement épicé. Et que dire des Scotch eggs, sans doute les plus chics que j’aie jamais goûtés ...
Je dois aussi mentionner Hubert, le directeur du restaurant, véritable personnage à part entière. Sa présence apporte une touche unique, renforçant cette impression que l’on fait partie d’une communauté privilégiée, où l’histoire et l’excellence se côtoient avec élégance.
Pénétrer dans The Chinnery, niché au cœur du Mandarin Oriental de Hong Kong, c’est un peu comme entrer dans une bulle hors du temps. Caché au premier étage, ce lieu a longtemps été un refuge secret pour les initiés, un véritable paradis pour gentlemen. Baptisé en l'honneur du peintre britannique George Chinnery, les murs sont ornés de ses peintures présentant des scènes de la vie coloniale sur la côte chinoise. L'ambiance ici se veut définitivement nostalgique,
À l’origine réservé aux hommes, The Chinnery a ouvert ses portes aux femmes dans les années 1990, reflétant ainsi l’évolution de Hong Kong et du Mandarin Oriental. Ce qui n’a pas changé, c’est l’élégance intemporelle de son décor en boiseries, préservé avec soin depuis sa grande rénovation en 2006.
Récemment, j’ai eu la chance de découvrir les lieux, subitement rénovés à l'été 2024, pour la toute première fois. Même si la rénovation reste discrète, elle insuffle un nouvel élan à l'endroit. Mais rassurez-vous, les essentiels qui font la renommée des lieux sont toujours là : une ambiance cosy digne d’un club privé, et une collection de whiskys single malts parmi les plus prestigieuses du monde.
Côté cuisine, c’est un réga la encore empreint de nostalgie. Le menu se veut Anglo-Indien et réconfortant. Impossible de résister à la kulcha de pommes de terre, un petit bijou fondant, ni au curry de poisson parfaitement épicé. Et que dire des Scotch eggs, sans doute les plus chics que j’aie jamais goûtés ...
Je dois aussi mentionner Hubert, le directeur du restaurant, véritable personnage à part entière. Sa présence apporte une touche unique, renforçant cette impression que l’on fait partie d’une communauté privilégiée, où l’histoire et l’excellence se côtoient avec élégance.
The Chinnery
https://www.mandarinoriental.com/en/hong-kong/victoria-harbour/dine/the-chinnery
1/F, Mandarin Oriental, Hong Kong, 5 Connaught Road, Central
Cet article s’appuie sur un déjeuner organisé par The Chinnery, sans obligation de publication. Il n’a pas donné lieu à une rémunération financière et l’avis exprimé y est 100% celui de son auteur.
