par Aude Camus
J’ai beau être optimiste, je vois mes espoirs de sauter dans un avion dans les prochains mois s’amenuiser chaque jour et j’ai du mal à envisager une reprise des voyages avant le dernier trimestre de l’année. Autant vous dire que j’ai bien remisé au placard mes velléités d’enfin découvrir le Japon. Car oui, après six ans à Hong Kong, je n’ai toujours pas eu l’opportunité de cocher la case Japon. Alors du coup, je me console comme je le peux et je fais voyager mes papilles. J’ai notamment vécu, il y a quelques jours, ma première expérience de Yakiniku, le barbecue japonais, chez Yakiniku Ishidaya. Cette nouvelle adresse de Central est aussi la première adresse internationale d’un célèbre restaurant de Kobe.
J’ai beau être optimiste, je vois mes espoirs de sauter dans un avion dans les prochains mois s’amenuiser chaque jour et j’ai du mal à envisager une reprise des voyages avant le dernier trimestre de l’année. Autant vous dire que j’ai bien remisé au placard mes velléités d’enfin découvrir le Japon. Car oui, après six ans à Hong Kong, je n’ai toujours pas eu l’opportunité de cocher la case Japon. Alors du coup, je me console comme je le peux et je fais voyager mes papilles. J’ai notamment vécu, il y a quelques jours, ma première expérience de Yakiniku, le barbecue japonais, chez Yakiniku Ishidaya. Cette nouvelle adresse de Central est aussi la première adresse internationale d’un célèbre restaurant de Kobe.
Au menu donc, vous l’aurez deviné, du bœuf de Kobe, le joyau de la préfecture de Hyogo. Et pour cette adresse hongkongaise, comme pour son restaurant de Kobe, Kiyonori Ishidaya, le propriétaire, choisit personnellement chacun des morceaux de viande qui composent le menu. Viande issue de bœufs wagyu élevés dans des fermes bien spécifiques.
Non content de transporter vos papilles, Yakiniku Ishidaya offre également un joli voyage visuel avec son décor mêlant la pierre et le bois avec le métal et l’acier et offrant une revisite des traditionnelles maisons japonaises. Chaque table bénéficie de son propre barbecue, avec hotte intégrée pour vous éviter de sentir la viande grillée en ressortant.
Non content de transporter vos papilles, Yakiniku Ishidaya offre également un joli voyage visuel avec son décor mêlant la pierre et le bois avec le métal et l’acier et offrant une revisite des traditionnelles maisons japonaises. Chaque table bénéficie de son propre barbecue, avec hotte intégrée pour vous éviter de sentir la viande grillée en ressortant.
Plus j’y réfléchis, plus je me dis que les lieux ont des airs de wagon de train. Non ? Moi qui voulais voyager, me voici servie.
Mais attaquons ce festin. Entendons-nous, si vous n’aimez pas la viande, vous n’êtes malheureusement pas au bon endroit. En revanche, si l’idée d’un repas quasi 100% carnivore vous émoustille alors, là, vous allez apprécier ! Et ce que vous allez également apprécier, ce sont les prix relativement intéressant comparés à d’autres restaurants servant des viandes de même qualité avec des morceaux de wagyu A4 et A5 entre 158 HKD et 488 HKD et le filet ou contre-filet de bœuf de Kobe à 688 HKD.
J’ai notamment beaucoup aimé le A5 Wagyu Chateaubriand (488 HKD), un morceau de bœuf taillé dans le filet, fondant comme du beurre mais aussi le Premium Omakase Platter (388 HKD) qui offre trois morceaux de bœufs marinés ; basses- côtes, viande maigre, plat-de-côtes.
Et si vous avez peur de ne pas maitriser la cuisson sur votre grill, n’hésitez pas à demander conseil, l’équipe se compose de Yakiniku masters qui sont là pour vous enseigner l’art précis du Yakiniku.
Mais attaquons ce festin. Entendons-nous, si vous n’aimez pas la viande, vous n’êtes malheureusement pas au bon endroit. En revanche, si l’idée d’un repas quasi 100% carnivore vous émoustille alors, là, vous allez apprécier ! Et ce que vous allez également apprécier, ce sont les prix relativement intéressant comparés à d’autres restaurants servant des viandes de même qualité avec des morceaux de wagyu A4 et A5 entre 158 HKD et 488 HKD et le filet ou contre-filet de bœuf de Kobe à 688 HKD.
J’ai notamment beaucoup aimé le A5 Wagyu Chateaubriand (488 HKD), un morceau de bœuf taillé dans le filet, fondant comme du beurre mais aussi le Premium Omakase Platter (388 HKD) qui offre trois morceaux de bœufs marinés ; basses- côtes, viande maigre, plat-de-côtes.
Et si vous avez peur de ne pas maitriser la cuisson sur votre grill, n’hésitez pas à demander conseil, l’équipe se compose de Yakiniku masters qui sont là pour vous enseigner l’art précis du Yakiniku.
Je recommande aussi quelques accompagnements, pour casser le côté un peu écœurant du bœuf wagyu, notamment la Ishidaya Salad (98 HKD) mais surtout les Wagyu Cold Noodles (138 HKD). Ce plat riche en saveurs est étonnamment rafraichissant et vous permettra de vous nettoyer le palais entre chaque morceau de viande. J’ai tant aimé ce plat que je pourrai retourner chez Yakiniku Ishidaya rien que pour un bol de ces noodles, qui font d’ailleurs aussi partie de la formule set lunch (158 HKD pour le bol de Wagyu Cold Noodles accompagne d’une salade et d’un dessert).
Ah oui, pour le vin, car après tout un bon morceau de viande on l’aime avec un bon verre de vin, vous avez également l’embarras du choix. Pourquoi ne pas vous laissez tenter par un vin japonais afin de rester dans l’ambiance et de pousser le voyage gustatif jusqu’au bout ?
Yakiniku Ishidaya
3/F, Century Square, 1-13 D’Aguilar Street – Central
Ah oui, pour le vin, car après tout un bon morceau de viande on l’aime avec un bon verre de vin, vous avez également l’embarras du choix. Pourquoi ne pas vous laissez tenter par un vin japonais afin de rester dans l’ambiance et de pousser le voyage gustatif jusqu’au bout ?
Yakiniku Ishidaya
3/F, Century Square, 1-13 D’Aguilar Street – Central
Cet article s’appuie sur un repas pour deux offert par Yakiniku Ishidaya mais n’a donné lieu à aucune rétribution financière. L’avis exprimé est donc 100% celui de son auteur.
